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L'utilisation de la toxine botulique est dans l'esprit de chacun largement dévolue aux pathologies neurologiques, au premier rang desquelles figurent la spasticité et la dystonie. L'hypertonie musculaire d'origine centrale est ainsi traitée par le blocage présynaptique de la libération ...

C'est avec une profonde tristesse que nous avons appris le départ du Pr Serge ­Poiraudeau, le samedi 25 mars 2017, à l'aube. Nous le savions tous très malade, mais au fond de nous-mêmes, nous gardions espoir, lui qui avait affronté de nombreux défis victorieux.Serge ...

Le seul traitement actuellement reconnu comme efficace pour traiter un syndrome de loge d'effort de jambes est chirurgical. De rares études rapportées dans la littérature suggèrent que l'injection intramusculaire de toxine botulique diminue la douleur d'effort et les pressions ...

La toxine botulique A peut être une option intéressante pour la pubalgie liée aux adducteurs par relâchement sélectif des muscles injectés, permettant de mettre au repos l'enthèse et le corps musculaire. Il n'y a pas de perte de force ressentie ; le sportif peut alors réaliser sa ...

La prise en charge thérapeutique privilégie le versant rééducatif, en sensibilisant le patient sur l'intérêt d'une autorééducation quotidienne. Les injections de toxine botulique dans le muscle piriforme sont proposées en seconde intention, avant de ­discuter, en cas d'échec, ...

À l'heure actuelle, au vu de la littérature, il n'y a clairement pas de preuves suffisantes en faveur de l'utilisation de la toxine botulique dans le traitement des lombalgies chroniques. Les effets antalgiques de la toxine semblent intéressants pour traiter cette population à court terme, ...

Les mécanismes de la douleur arthrosique sont complexes. Leur meilleure compréhension permet actuellement d'envisager des traitements symptomatiques plus ciblés, tels que les thérapies visant les récepteurs et les neurotransmetteurs périphériques de la douleur. Dans cette catégorie, la ...

Il y a un manque d'essais controlés randomisés sur la toxine botulique et la tendinopathie des épicondyliens latéraux.Le frein principal à son utilisation est la survenue d'effets indesirables.Ainsi, le dosage optimal pour un bon compromis entre risque d'effet indésirable et efficacité ...

L'Institut fédératif de recherche sur le handicap (IFRH) est une structure fédérative de recherche pluridisciplinaire et pluri-institutionnelle dont l'Inserm est l'établissement support. Il vise à développer la recherche sur le handicap au moyen de 3 axes de recherche :– axe A : recherche ...

La toxine botulique est un traitement focal de choix de la spasticité, même diffuse, si celle-ci est gênante.Avant d'envisager les injections, des objectifs thérapeutiques clairs et personnalisés doivent être posés, qu'ils concernent l'amélioration de la fonction active ou le confort, afin ...

Depuis la première injection de toxine botulique chez l'humain, réalisée en 1977 par Alan B. Scott pour traiter une contracture musculaire gênante sur un strabisme − et dont les résultats furent publiés en 1980 −, les indications se sont rapidement élargies dans les pathologies ...

La paralysie obstétricale du plexus brachial (POPB) est une atteinte nerveuse périphérique complexe de l'enfant, qui survient au moment de l'accouchement. Elle occasionne un déficit moteur qui peut persister malgré le traitement micro­chirurgical. Le déséquilibre musculaire et les ...

La toxine botulique est le traitement de première intention dans la prise en charge des dystonies focales et d'autres types de mouvement anormal indépendamment de leur étiologie.Le profil d'efficacité des principales marques de toxine botulique est similaire.Le choix des muscles à injecter ...

La toxine botulique est aujourd'hui largement utilisée dans la prise en charge de nombreuses affections, en particulier neurologiques. Elle est devenue une solution thérapeutique de choix par rapport aux traitements systémiques dans la prise en charge de symptômes moteurs et non moteurs des ...

Madame L., 53 ans, consulte pour la prise en charge thérapeutique de gonalgies droites. Ses principaux antécédents sont des épisodes de migraine traités par bisoprolol hémifumarate et un syndrome dépressif chronique traité par venlafaxine. ...

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