Chez 516 patients atteints de FPI inclus entre février 2012 et août 2014 dans le registre australien prospectif Australian IPF Registry (âge moyen : 71,3 ans ; 77,3 % d’hommes et 71,3 % de fumeurs ou d’anciens fumeurs), I.N. Glaspole et al. ont analysé les relations entre les caractéristiques physiologiques et cliniques des patients et leur score de qualité de vie évaluée par le questionnaire respiratoire de Saint-George (SGRQ) (1). Les variables physiologiques et cliniques considérées comportaient notamment la CVF, la DLCO, la distance de marche sur 6 minutes, le score GAP, le score CPI, le score de dyspnée à l’échelle UCSD-SOBQ, l’intensité de la toux mesurée sur une échelle visuelle analogique de 0 à 100 mm et le score d’anxiété-dépression mesurée à l’échelle HAD. En analyse multivariée, les seules variables…