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L’osimertinib reste actuellement le traitement de référence en 1re ligne pour les CBNPC EGFR muté avancés. La chimiothérapie à base de platine demeure la principale option thérapeutique après la progression sous osimertinib. L’efficacité des inhibiteurs de points de contrôle ...

Ces dernières années ont été marquées par une évolution significative dans la prise en charge des carcinomes rénaux à cellules claires métastatiques, avec la multiplication des possibilités thérapeutiques. ...

L'osimertinib reste actuellement le traitement de référence en 1re ligne pour les CBNPC EGFR muté avancés.La chimiothérapie à base de platine demeure la principale option thérapeutique après la progression sous osimertinib.L'efficacité des inhibiteurs de points de contrôle immunitaire ...

Le proto-oncogène RET (rearranged during transfection), identifié comme le gène responsable des néoplasies endocriniennes multiples de type 2 (NEM2), est également impliqué dans les formes sporadiques de carcinome médullaire de la thyroïde et dans certains cancers différenciés de la ...

Le proto-oncogène RET (rearranged during transfection), identifié comme le gène responsable des néoplasies endocriniennes multiples de type 2 (NEM2), est également impliqué dans les formes sporadiques de carcinome médullaire de la thyroïde et dans certains cancers différenciés de la ...

Les mutations MET exon 14 (METex14) sont retrouvées dans environ 3 % des carcinomes bronchiques non à petites cellules (CBNPC).Elles sont situées dans ou à proximité immédiate des sites d'épissage de l'exon 14 du gène MET conduisant à un ARN messager dépourvu d'exon 14.L'exon 14 de ...

Les mutations MET exon 14 (METex14) sont retrouvées dans environ 3 % des carcinomes bronchiques non à petites cellules (CBNPC).Elles sont situées dans ou à proximité immédiate des sites d'épissage de l'exon 14 du gène MET conduisant à un ARN messager dépourvu d'exon 14.L'exon 14 de ...

Les actualités en sénologie ont été nombreuses en 2019 au fil des congrès internationaux, modifiant d'ores et déjà nos pratiques. Pour les cancers RH+, on retiendra la confirmation de l'efficacité des inhibiteurs de CDK4/6, sur les résultats de survie globale. Pour les cancers Her2+, un ...

Les inhibiteurs de mTOR ont pris une place importante en cancérologie. Ils sont à l'origine d'hyperglycémies parfois sévères, dont l'incidence varie de 13 à 50 %.Ces diabètes induits par les inhibiteurs de mTOR apparaissent liés à une résistance à l'insuline et à une réduction de ...

Quinze à 20 % des carcinomes mammaires présentent une surexpression du récepteur HER2. Initialement péjoratif, le pronostic de ce type tumoral s’est considérablement amélioré au cours de ces 15 dernières années. Le développement de thérapies ciblées dirigées contre le ...

Les inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK) de l'EGFR (Epidermal Growth Factor Receptor), l'erlotinib, le géfitinib et l'afatinib, sont le traitement de référence des cancers bronchiques non à petites cellules (CBNPC) avec mutation activatrice du récepteur de l'EGFR :le géfitinib ...

La présence de métastases cérébrales (MC) est un événement relativement peu fréquent mais non exceptionnel, leur incidence variant de 5 à 10 % des cas de cancer du rein métastatique (mRCC). Les patients avec des métastases pulmonaires et osseuses semblent plus à risque de développer ...

»» Le régorafénib est un nouvel inhibiteur de tyrosine kinase multicible oral combinant une action antiangiogénique antioncogénique et une action sur le microenvironnement péritumoral. Il s'est montré efficace et supérieur au placebo à la fois dans le cancer colorectal métastatique ...

Les inhibiteurs de mTOR ont pris une place importante en cancérologie. Ils sont à l'origine d'hyper­glycémies parfois sévères, dont l'incidence varie de 13 à 50 %.Ces diabètes induits par les inhibiteurs de mTOR apparaissent liés à une résistance à l'insuline et à une réduction de ...