Résultats de la recherche

»» Le FOLFIRINOX est le standard de première ligne chez les patients de moins de 76 ans en excellent état général (OMS 0-1) avec une bilirubine normale (< 1,5 LSN [limite supérieure de la normale]). »» La combinaison nab-paclitaxel + gemcitabine est un autre standard de première ...

»» La chimiothérapie de 2e ligne concerne environ la moitié des patients atteints d'un cancer du pancréas métastatique. La décision du traitement dépend, d'une part, de l'état général et de l'état nutritionnel du patient ainsi que de la présence ou de l'absence de cholestase, et, ...

» Le ciblage de la voie des MAP kinases par les inhibiteurs de MEK semble insuffisamment actif en mono- thérapie ou en association avec la gemcitabine ; des stratégies ciblant Ras sont en cours de développement. » La metformine, la L-asparaginase et l'hydroxychloroquine ciblent les ...

Le débat sur la fin de vie a marqué l'année 2014 : d'un côté, un projet de loi qui peine à se dessiner, et, de l'autre, 2 décisions de justice qui, coup sur coup, ont semé le trouble. Dans l'affaire Bonnemaison, la cour d'assises de Pau a acquitté un praticien qui avait donné la ...

Les lymphomes cutanés constituent un groupe hétérogène, le plus souvent de phénotype T, et représentent, après les lymphomes digestifs, la localisation la plus fréquente des lymphomes extraganglionnaires. Les connaissances et les concepts en matière de lymphomes cutanés ont ...

Cytogénétique de mauvais pronostic dans le myélome : del(17p) et t(4;14) ne sont plus seuls…Énervement et syndrome myéloprolifératifIbrutinib et rituximab : des noces complexes…En cas de noces complexes, ne pas hésiter à aller voir ailleurs…[...] ...

Nous pourrions parler aujourd’hui, Juliette, des mécanismes de protection de la peau qui impliquent au premier chef l’immunité innée. Pourtant, dans ce dossier consacré aux lymphomes cutanés, il semble plus approprié de se pencher sur les mécanismes de la localisation des ...

Le lymphome T sous-cutané à type de panniculite (LTSP) est un lymphome rare, de phénotype . Le tableau clinique est celui d’une panniculite chronique, parfois accompagnée de signes généraux et touchant principalement les femmes jeunes. Le diagnostic nécessite des biopsies profondes et ...

Les lymphomes B cutanés diffus à grandes cellules de type membre inférieur sont caractérisés par un comportement clinique agressif et un mauvais pronostic, formant une exception parmi les lymphomes B cutanés. Cela souligne l’importance d’un diagnostic précis et d’une prise en charge ...

Les lymphomes cutanés primitifs les plus fréquents sont les lymphomes T cutanés épidermotropes (LTCE), constitués du mycosis fongoïde et du syndrome de Sézary. Les LTCE de stade avancé ont un mauvais pronostic : la survie médiane est comprise entre 1 et 5 ans, les patients présentent ...

Le syndrome de Sézary (SS) fait partie du spectre des lymphomes T cutanés épidermotropes érythro dermiques. L’érythrodermie correspond au stade T4 de la classification TNMB. Les manifestations hématologiques permettent de distinguer 3 sortes de lymphomes T cutanés érythrodermiques ...

Les lymphoproliférations CD30 cutanées primitives sont le deuxième type le plus fréquent des lymphomes T cutanés. Elles correspondent à un spectre allant de la papulose lymphomatoïde (LyP) au lymphome cutané anaplasique à grandes cellules (C-ALCL), qui sont cliniquement différents mais ...

Dans la classification de l’OMS 2008, la leucémie à cellules dendritiques plasmacytoïdes (LPDC) [Blastic Plasmacytoid Dendritic Cell Neoplasm (BPDCN)] est une maladie rare caractérisée par la prolifération blastique maligne d’un contingent de cellules dendritiques. Les cellules ...

Les cellules T CD4+ folliculaires helper (TFH) sont impliquées dans la différenciation des cellules B naïves en lymphocytes effecteurs B mémoires et en plasmocytes. Certains lymphomes T présentent des caractéristiques moléculaires et phénotypiques les rapprochant des cellules TFH. Leur ...

La découverte de preuves directes ou indirectes de la présence d’un agent infectieux au sein d’une prolifération tumorale ne suffit pas à établir sa responsabilité. J.A. Blaho et al. ont proposé en 1999 les critères d’imputabilité suivants : ...

Les 38es Journées du Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) se sont tenues du 3 au 5 décembre 2014 au CNIT Paris-La Défense. Comme à l’accoutumée, les sessions se sont déroulées dans une excellente convivialité et ont été riches en ...

Chez l’enfant, la toux est un symptôme très fréquent, et elle est bénigne dans la grande majorité des cas. Une fois ce constat posé, force est de reconnaître que les parents comme les médecins sont face à un problème : il faudrait aider l’enfant (même sans complication, une ...

L’insuffisance ovarienne prématurée (IOP) est un syndrome rare, concernant par définition les femmes de moins de 40 ans. Les enjeux de sa prise en charge sont multiples. Tout d’abord, le diagnostic avec des phénotypes différents suivant l’âge de survenue, et des critères ...

» L’insuffisance ovarienne prématurée (IOP) est une anomalie ovarienne primitive ou secondaire. C’est une maladie affectant approximativement 1 % des femmes avant 40 ans. » Le diagnostic d’IOP est posé devant une aménorrhée primaire ou secondaire depuis plus de 4 mois associée à ...

Plus de 40 gènes différents sont reconnus comme impliqués dans l’insuffisance ovarienne prématurée (IOP). Cependant, la majorité des anomalies génétiques décrites correspond à des cas sporadiques. Les principales causes génétiques sont les anomalies du caryotype (10 à 15 % des ...