Gynécomastie iatrogène : une nouvelle molécule à ajouter à la liste ?
La gynécomastie est une affection fréquente chez l'homme aux différents âges de la vie. Une des principales étiologies est iatrogène (6 à 27 % des cas selon les séries), et les molécules le plus souvent impliquées sont la spironolactone, les antiandrogènes (acétate de cyprotérone), ...