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La récidive postopératoire (RPO) endoscopique ou clinique est fréquente dans la maladie de Crohn (MC). Les patients doivent être stratifiés selon le niveau de risque de RPO. Un sevrage tabagique doit être proposé à tout patient fumeur. En prévention de la RPO, les 5-ASA ont une ...

À 6 mois et à 1 an, un traitement combiné anti-TNF + immunosuppresseurs est plus efficace que chacun de ces traitements pris isolément. Ces résultats ont été démontrés uniquement avec l’infliximab. Dans cette situation particulière, seule l’azathioprine a démontré son intérêt ...

En cas de poussée sévère et corticorésistante de rectocolite hémorragique, l’infliximab (IFX) est indiqué lorsqu’un traitement d’entretien par l’azathioprine n’est pas envisageable en raison d’une intolérance ou d’un échec antérieur. Chez les malades naïfs de thiopurines, ...

Un effet protecteur antitumoral du 5-ASA est probable, mais des preuves solides manquent. Seules des études cas-témoins ont été publiées. L’association entre la réduction du risque de cancer colorectal et la prise de salicylés n’est pas nécessairement causale et peut être le ...

Les anti-TNFα diminuent significativement le recours à la chirurgie dans la rectocolite hémorragique (RCH) à 1 an, dans les essais randomisés contrôlés contre placebo. Dans la vraie vie, environ 1 patient sur 5 atteint de RCH devra bénéficier d’une colectomie à long terme sous ...

Malgré une diminution globale du taux de résection intestinale depuis les années 1930, plus marquée depuis l’introduction des immunosuppresseurs, près d’un tiers des patients nécessitent actuellement une chirurgie dans les 5 ans suivant le diagnostic de maladie de Crohn (MC) [1] ...

Les résultats d’une méta-analyse suggèrent que l’utilisation préopératoire des anti-TNF pourrait augmenter la survenue de complications postopératoires précoces dans la RCH. Cependant, plusieurs études récentes sont négatives. Les anti-TNF ne semblent pas augmenter le taux de ...

Les molécules anti-Tumor Necrosis Factor (antiTNF) [infliximab, adalimumab et certolizumab pegol], introduites au milieu des années 1990 dans le traitement des maladies inflammatoires chroniques intestinales (MICI), ont permis d’induire et de maintenir une rémission clinique ainsi ...

L’objectif du traitement des maladies inflammatoires chroniques intestinales vise encore essentiellement l’induction et le maintien d’une rémission, le principal juge de paix pour évaluer l’efficacité d’un traitement restant l’obtention d’une rémission clinique. ...

Ostéoporose au cours des maladies inflammatoires chroniques de l’intestin (MICI) - Osteporosis in inflammatory bowel disease V. Abitbol, C. Roux ...

Traitement des MICI par infliximab : acquis et perspectives M.A. Bigard ...

Les corticoïdes constituent toujours le traitement le plus efficace à court terme des maladies inflammatoires cryptogénétiques de l’intestin (MICI). Cependant, ils sont fréquemment à l’origine d’effets indésirables liés à leurs effets sur les métabolismes ...

Place de l’endoscopie dans le dépistage du cancer iléal ou colique au cours des MICI - Colon and small bowel cancer screening by endoscopy in inflammatory bowel diseases ...

Endoscopie et diagnostic positif d’une maladie inflammatoire chronique intestinale (MICI) devant une colite aiguë - Endoscopic criteria for the diagnosis of inflammatory bowel diseases during acute colitis (L. Beaugerie) ...

Il est apparu très rapidement aux spécialistes des MICI que génétique et environnement jouaient l’un et l’autre un rôle dans la pathogenèse de l’inflammation. Restaient à déterminer la nature et le poids respectifs de ces facteurs. Rutgeerts nous a appris dans les années 1990 que le ...

Sédatif et lésions anopérinéales des MICI ...