Résultats pour « Cancer oesogastrique »

L'European Randomized study of Screening for Prostate Cancer (ERSPC) a montré, avec un recul de 13 ans, une réduction significative de la mortalité par cancer de la prostate (1). L'essai PLCO américain (2) a des résultats très contestables vu le taux de contamination par des dosages de ...

La préservation de la fertilité pour les hommes adultes est systématiquement proposée avant tout traitement gonadotoxique. Chez l'homme, le recueil de sperme par masturbation est le moyen le plus simple et le plus efficace pour obtenir des spermatozoïdes en vue d'une cryoconservation. Chez ...

La préservation de la fertilité pour les hommes adultes est systématiquement proposée avant tout traitement gonadotoxique. Chez l'homme, le recueil de sperme par masturbation est le moyen le plus simple et le plus efficace pour obtenir des spermatozoïdes en vue d'une cryoconservation. Chez ...

La connaissance des mutations génétiques survenant dans une cellule tumorale a permis le développement d'une médecine de précision, avec l'apparition de thérapies ciblées. Notamment, le traitement par trastuzumab, anticorps anti-HER2, a entraîné une amélioration ...

Le cancer est une des préoccupations majeures du transplanteur. Plusieurs facteurs l'expliquent, que ce numéro du Courrier de la Transplantation tente d'explorer : Jérôme Le Pavec a revisité dans ce numéro la transplantation pulmonaire pour cancer, qui reste, pour les transplanteurs ...

Les inhibiteurs de mTOR ont pris une place importante en cancérologie. Ils sont à l'origine d'hyperglycémies parfois sévères, dont l'incidence varie de 13 à 50 %.Ces diabètes induits par les inhibiteurs de mTOR apparaissent liés à une résistance à l'insuline et à une réduction de ...

Le surpoids augmente le risque de cancer du sein en postménopause, tandis qu'être mince augmente le risque en préménopause.L'activité physique diminue le risque de cancer du sein, et doit être poursuivie toute la vie.La consommation d'alcool augmente le risque de cancer ...

La connaissance des mutations génétiques survenant dans une cellule tumorale a permis le développement d'une médecine de précision, avec l'apparition de thérapies ciblées. Notamment, le traitement par trastuzumab, anticorps anti-HER2, a entraîné une amélioration ...

Les inhibiteurs de mTOR ont pris une place importante en cancérologie. Ils sont à l'origine d'hyper­glycémies parfois sévères, dont l'incidence varie de 13 à 50 %.Ces diabètes induits par les inhibiteurs de mTOR apparaissent liés à une résistance à l'insuline et à une réduction de ...

L'apport nécessaire, voire indispensable, du soin psycho-oncologique au traitement du patient atteint d'un cancer n'est plus à démontrer. Les enseignements de la clinique du traumatisme psychique et du syndrome post-traumatique (PTSD) appliqué au cancer qu'elle comporte conduisent à ...

Fruit d'un long travail dirigé par l'Institut national du cancer (INCa) depuis janvier 2014, les nouvelles recommandations professionnelles sur “La conduite à tenir devant une femme ayant une cytologie cervico-utérine anormale” ont vu le jour en décembre 2016 (publiées ...

Les bénéfices de l’activité physique ont été assis par le résultat des expériences collectives publiées par l’Inserm en 2008 et en 2019. Quelle que soit la pathologie étudiée, le rapport ...

L’adénocarcinome du pancréas reste l’un des cancers les plus mortels en raison de sa détection tardive et de sa résistance aux thérapies conventionnelles. L’immunothérapie, notamment les stratégies vaccinales, émerge comme une approche prometteuse pour améliorer le pronostic de ...

L’association immunothérapie et vaccins anti-HPV a montré son intérêt. MVX-ONCO-1 : premier vaccin pour une survie prolongée ? Le pembrolizumab est plus efficace en séquentiel qu’en concomitant avec la radiochimiothérapie. Des résultats actualisés confirment le bénéfice de ...

Benjamin Besse est professeur d’oncologie médicale à l’université Paris-Saclay et directeur de la recherche clinique de l’institut Gustave-Roussy. Spécialiste de la prise en charge des cancers thoraciques, il a accepté de répondre ...

Environ 15-47 % des patients traités pour des cancers bronchiques non à petites cellules métastatiques avec addiction oncogénique (AO-CBNPC) présentent des évolutions oligoprogressives sous inhibiteurs de tyrosine kinase (ITK). La radiothérapie en conditions stéréotaxiques (RCS) est un ...

L’hyperprogression tumorale (hyperprogressive disease, HPD) est un phénomène qui survient dans environ 10 à 20 % des cancers solides, et notamment le cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) sous immunothérapie par inhibiteurs de points de ...

Écouter cet article : Les cancers du sein hormonodépendants (RH+) ne surexprimant pas HER2 (HER2−) sont les plus fréquents et classiquement associés à un pronostic plutôt favorable lorsqu’ils peuvent être diagnostiqués et ...

Écouter cet article : Les cancers du sein hormonodépendants (RH+) ne surexprimant pas HER2 (HER2−) sont les plus fréquents et classiquement associés à un pronostic plutôt favorable lorsqu’ils peuvent être diagnostiqués et ...

L’association GEMCIS + durvalumab est le nouveau standard de traitement des patients atteints d’un cancer des voies biliaires avancé. L’ajout du durvalumab augmente significativement la survie des patients et la réponse tumorale. Le profil de ...