Résultats pour « cytologie »

La chimiothérapie néoadjuvante à base de cisplatine (MVAC-dose dense ou cisplatine-gemcitabine) est le traitement de référence pour les TVIM et permet l’obtention d’une réponse complète anatomopathologique (ypT0N0) chez environ 40 % des patients. Peut-on envisager une préservation ...

Dans le cadre du Congrès Les essentiels dans le carcinome urothélial

Durée : 1:31 ...

Dans le cadre du Congrès DT Bemelmans

Médecin
Anatomie et cytologie pathologiques

L'ESVONC (European Society of Veterinary Oncology) a fêté ses 30 ans sous le soleil printanier de Syracuse, petite perle de la Sicile, colonie grecque à l'origine, où se sont croisés quelques personnages célèbres de l'Histoire, de Platon à Archimède en passant par Caravage.À cette ...

RÉSUMÉLes tumeurs mammaires canines et félines présentent des caractéristiques distinctes que ce soit en termes histologiques, pronostiques ou thérapeutiques. Le bilan d'extension et la chirurgie ont une place importante dans la prise en charge. Nous vous proposons une synthèse de l'état ...

Médecin
Anatomie et cytologie pathologiques

Ces 2 journées très riches, consacrées à la pathologie mammaire ont permis de faire un tour d'horizon des nouveautés tant sur le plan organisationnel que sur les plans technique, diagnostique et contrôle qualité.Le délai de réalisation des examens anatomopathologiquesG. MacGrogan, ...

Article analysé : Del Magno S et al. Evaluation of the neoplastic infiltration of the skin overlying canine subcutaneous soft tissue sarcomas: an explorative study. Vet Comp Oncol 2021;19(2):304-10.Résumé de l'articleCet article s'intéresse à la présence ou l'absence d'infiltration cutanée ...

La cytométrie en flux (CMF) est une technologie centrale pour le diagnostic et le suivi des hémopathies malignes. Elle a bénéficié d’une évolution technologique continue alors que les méthodes d’analyse des données de CMF ...

Médecin
Anatomie et cytologie pathologiques

L'hémorragie intra-alvéolaire (HIA) est une urgence thérapeutique.Il importe de séparer les formes immunes des formes non immunes.L'échographie cardiaque est indispensable dans le bilan d'une HIA. Dans les formes immunes, le traitement repose sur l'association de corticoïdes et ...

Le lymphome cérébral primitif se manifeste par des symptômes aspécifiques d’aggravation rapidement progressive. L’aspect IRM classique est celui d’un ou plusieurs processus expansifs de localisation profonde, périventriculaire, prenant le ...

Le lymphome cérébral primitif (LCP) est un sous-type de lymphome diffus à grandes cellules B de phénotype non centrogerminatif, localisé exclusivement au niveau du système nerveux central. Le LCP présente une signature ...

Dans ce numéro, le dossier consacré aux cancers thyroïdiens va vous permettre en quelques pages de tout savoir sur les dernières avancées dans un domaine en grande évolution, du fait de la rencontre entre les nouvelles techniques de la biologie moléculaire (le haut débit) et le ...

Le R-CHOP vacille sur son piédestalDepuis l'arrivée du rituximab [1], jamais une étude n'avait démontré une supériorité d'un bras contre le R-CHOP. Dans cette nouvelle étude comparative de phase III [2] affrontant la référence historique, les patients ont été randomisés ...

Médecin
Anatomie et cytologie pathologiques

Médecin
Anatomie et cytologie pathologiques

L'évolution constante des techniques de biologie moléculaire permet un testing exhaustif de pathogènes fréquemment impliqués dans les infections neuroméningées.L'impact de l'approche syndromique est renforcé par les actions des équipes mobiles d'antibiothérapie.Le développement récent ...

La leucémie prolymphocytaire T est une hémopathie maligne T, rare, agressive et de mauvais pronostic. Le diagnostic repose sur la présence d'une lymphocytose T, souvent majeure, monotypique, avec une anomalie des chromosomes 14q32 ou Xq28 en cytogénétique. Une phase inactive de la maladie ...

Les tumeurs rares sont historiquement définies comme des tumeurs ­d'histopathologie inhabituelle dans une localisation donnée. Si elles ­représentent dans leur ensemble moins de 1 % des tumeurs malignes ­primitives, elles regroupent de nombreuses entités histologiques, cliniques, ...