Résultats pour « Tumeur carcinoïde »

Après la présentation en poster discussion (de Bono et al.) de la prévalence des mutations des gènes de réparation de l’ADN (HDR+), M. Hussain a livré en session présidentielle les résultats de l’olaparib versus une nouvelle hormonothérapie, enzalutamide ou abiratérone (ATRA) chez ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Le cancer de la prostate est la tumeur la plus fréquente des hommes âgés de plus de 75 ans. Son diagnostic repose sur les biopsies de prostate. La probabilité de vie est l'élément principal à évaluer avant même le diagnostic initial. Le score G8 et le mini-COGTM, évaluant les ...

La désescalade thérapeutique pose problème en cancérologie. Elle n'est légitime que si les taux de curabilité sont élevés, ce qui est encore loin d'être le cas dans bien des situations, et expose au risque de diminuer la probabilité de survie dans le but de réduire les complications à ...

Les consensus internationaux recommandent l'abstention du curage axillaire chez les patientes présentant un cancer du sein cT1/T2N0 avec micro- ou macrométastases dans 1 ou 2 ganglions sentinelles (GS) et étant traitées par chirurgie conservatrice et radiothérapie.Les pratiques ...

Le pronostic des TGNS (tumeurs germinales non séminomateuses) a été transformé par les chimiothérapies à base de cisplatine. Néanmoins, certains patients vont encore décéder de leur maladie. La classification ­pronostique internationale de l'IGCCCG (International Germ Cell Cancer ...

L'utilisation de la chirurgie laparoscopique robot-assistée pour le traitement des tumeurs du rein a augmenté rapidement au cours des 15 dernières années. Les techniques mini-invasives sont désormais utilisées dans la majorité des néphrectomies totales et partielles en France. Les ...

L'évaluation médicoéconomique permet d'arbitrer entre différentes stratégies. Actuellement, les prérequis pour ce type d'évaluation ne semblent pas réunis dans le cas de la robotique chirurgicale.Cet article conclut à la même orientation que le rapport Charges et produits 2019 de ...

Le traitement adjuvant des cancers du rein a déjà fait couler beaucoup d’encre, et surtout mobilisé des milliers de patients, occupé des centaines d’investigateurs, pour un résultat décevant. Les études de phase III ASSURE (sorafénib, sunitinib) et PROTECT (pazopanib) sont ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Le cancer de la prostate a longtemps été considéré comme une tumeur froide et donc non immunogène. Après différentes études négatives, IMPACT (Kantoff, New England Journal of Medicine) a montré pour la 1re fois un bénéfice en survie globale du sipuleucel-T. Mais, malheureusement, son ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Le nivolumab est un standard de traitement après ITK dans le cancer du rein à cellules claires métastatique. Néanmoins, 45 % des patients progressent dans les 3 1ers mois, et desbiomarqueurs sont absolument nécessaires pour prédire l’efficacité du nivolumab. Les populations ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

Les données actuelles suggèrent que le TMB pourrait avoir un intérêt clinique comme biomarqueur pour les traitements par anti-PD(L)-1. L’objectif de ces 2 études exploratoires était de connaître l’association du TMB sur tissu tumoral (tTMB) et les résultats thérapeutiques du ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-thoracique

Le pronostic des carcinomes urothéliaux métastatiques réfractaires au platine est longtemps resté sévère. Après une longue traversée du désert, où la chimiothérapie de 2e ligne de type taxol ou vinflunine était la seule option, nous avons assisté à l’émergence de différentes ...

Dans le cadre du Congrès ESMO 2019 - Actualités en onco-urologie

La biopsie liquide permet, à partir d’une simple prise de sang, de rechercher les anomalies moléculaires somatiques présentes au sein d’un cancer donné, en analysant l’ADN tumoral circulant. Pour un type tumoral donné, 2 conditions préalables sont nécessaires : premièrement que le ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'ETA 2019

L’équipe de Pise s’intéresse de longue date à la biologie des cancers médullaires de la thyroïde. Dans un travail précédent, ils avaient été intrigués par la faible fréquence des mutations de l’oncogène RET, en particulier des mutations du codon 918, dans les microcancers ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'ETA 2019

Cette étude rapportait l’efficacité intracérébrale de l’entrectinib, chez les patients porteurs d’un CBNPC avancé avec réarrangement de ROS1 (ROS1+) ou d’une tumeur solide NTRK (NTRK+) inclus dans les études de phase 1/2. L’évaluation cérébrale était basée sur une IRM ou un ...

Dans le cadre du Congrès En direct du WCLC 2019

En ce deuxième jour du congrès WCLC, la session plénière s’est ouverte sur la présentation de trois études sur le dépistage du cancer bronchique, discutées par Harry de Koning, investigateur principal de l’essai NELSON – essai présenté déjà il y a un an lors de ce congrès et ...

Dans le cadre du Congrès En direct du WCLC 2019

La possibilité d’un second cancer primitif chez un patient atteint d’un cancer médullaire de la thyroïde (CMT) a été rapportée, même indépendamment d’un contexte de prédisposition génétique liée aux mutations de l’oncogène RET (1). Le récepteur à activité tyrosine kinase ...

Dans le cadre du Congrès En direct de l'ETA 2019

L’association en première ligne du pembrolizumab et d’une chimiothérapie par sels de platine a montré une amélioration significative de la SG (HR = 0,49 ; p < 0,001), de la SSP (HR = 0,52 ; p < 0,001) et de la RO (47,6 versus 18,9 % ; p < 0,001) par rapport au placebo plus ...

Dans le cadre du Congrès En direct du WCLC 2019

L’étude SUCCESS A évaluant différentes modalités de chimiothérapie adjuvante a inclus 3 754 patientes. Un prélèvement sanguin après 5 ans de suivi a été réalisé dans un petit sous-groupe de 206 patientes. Des cellules tumorales circulantes (CTC) ont été détectées chez 16 ...

Dans le cadre du Congrès En direct de CHICAGO 2018

Le spectre mutationnel de TP53 est inhabituel pour un gène suppresseur de tumeur, car dominé par des mutations faux-sens (TP53FS) au niveau de la région de liaison à l'ADN (DBD, DNA-binding domain) plutôt que des mutations tronquantes, ainsi qu'une perte d'hétérozygotie inconstante. Un gain ...