Cette étude interroge l’effet du mode de consommation d’alcool au cours ou en dehors des repas. Les études antérieures avaient montré que l’alcool (le vin) pris à table pouvait être un des éléments expliquant le paradoxe français, à savoir moins de maladies cardiovasculaires qu’attendues car l’alcool à table (et donc le vin à table) diminuerait l’agrégation plaquettaire. Ici, il s’agit du risque de diabète. 312 388 consommateurs d’alcool de…
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J.M. Lecerf est membre au titre de l’Institut Pasteur de Lille du comité scientifique de Aprifel, Bel, Fict, Holder, IOT.