Dossier

Prise en charge des lymphoproliférations du VIH

»» Le risque de développer un lymphome non hodgkinien (LNH) pour une personne infectée par le VIH est 200 fois supérieur à celui observé dans la population générale. Ce risque est multiplié par 20 en cas de lymphome de Hodgkin (LH). Si l’incidence des LNH a beaucoup diminué à l’ère des thérapies antirétrovirales, ils restent la première cause de cancer chez les patients infectés par le VIH. Ils doivent donc bénéficier d’une prise en charge thérapeutique adaptée à leurs caractéristiques anatomopathologiques, physiopathologiques et pronostiques.

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