Sur le modèle de la leucémie myéloïde chronique (LMC), peut-on proposer un arrêt de leur cytoréducteur aux patients traités pour une autre néoplasie myéloproliférative ? La question mérite d'être posée, en raison de la durée de prescription de ces traitements (plusieurs dizaines d'années) et de la toxicité de certains d'entre eux à long terme (cutanée, médullaire, psychologique, infectieuse). Les outils de mesure de la maladie résiduelle sont multiples, mais leur pertinence est parfois discutable. Mais, en fait, avons-nous des traitements suffisamment puissants pour atteindre les niveaux de réponse observés dans la LMC ?
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