Dossier

Biopathologie moléculaire des cancers de la prostate résistants à la castration

  • Les altérations moléculaires sont multiples.
  • Il existe 2 grands mécanismes, identifiables par des signatures génomiques, selon que l'activité biologique du récepteur des androgènes persiste ou non.

Les cancers de la prostate résistants à la castration (CPRC) constituent une phase préoccupante de la maladie, car ils présentent un risque d'évolution fatale à court terme, avec une médiane de survie de 2 ans. Le CPRC se définit par une progression biologique (cinétique du taux de PSA) ou radioclinique alors que le taux de testostérone circulant équivaut au taux de castration . Ce dernier est fixé à 50 ng/ ml de testostérone totale, ce qui correspond au seuil d'efficacité retenu pour une castration médicale par analogue de la LHRH.

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