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Dossier

Syndrome cardiorénal : analyses observationnelles et données françaises

  • Les bases de données médico-administratives sont des outils qui permettent d’améliorer les connaissances épidémiologiques et d’évaluer les thérapeutiques “en vraie vie” ; elles sont ainsi utiles pour mieux comprendre certains aspects des syndromes cardiorénaux (SCR).
  • En France, ce type d’études montre que le SCR avec présentation cardiorénale est plus fréquent que celui avec présentation rénocardiaque, et il est également associé à un plus mauvais pronostic cardiovasculaire. Le syndrome rénocardiaque est associé à un plus mauvais pronostic pour le risque d’événement rénal.
  • Malgré le pronostic péjoratif avéré des SCR, ces analyses épidémiologiques ne semblent pas réellement montrer de synergie péjorative entre l’insuffisance cardiaque et la maladie rénale chronique.
  • Le diabète de type 2 double le risque de survenue de SCR (quel qu’en soit le type) et augmente le risque de décès, d’événement cardiovasculaire et de maladie rénale terminale lorsque le SCR est installé.
  • L’analyse en cluster révèle des profils vasculaires assez nettement différents chez les patients avec SCR. Cela permet d’envisager une nouvelle classification du SCR fondée sur l’aspect vasculaire de la physiopathologie, en distinguant de possibles différences concernant les lésions microvasculaires ou macrovasculaires.

Le syndrome cardiorénal (SCR) est un état clinique pathologique affectant à la fois le cœur et les reins. L’altération chronique ou aiguë de l’un de ces organes peut entraîner une dysrégulation chronique ou aiguë de l’autre et la prise en charge globale en devient d’autant plus difficile [1]. Parmi les tentatives de classifications, le SCR a été subdivisé en 5 sous-catégories qui décrivent le schéma de dys­fonctionnement cardiaque et rénal par la chronologie du dysfonctionnement cardiaque puis rénal (ou inversement) de manière aiguë ou chronique [2-4] (tableau I). Cette classification reflète…

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L. Fauchier déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.

V. Maisons déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.

J.M. Halimi déclare avoir des liens d’intérêts avec Alexion, AstraZeneca, Bayer, Boehringer Ingelheim France, Lilly, Novo Nordisk, Servier et Vifor Pharma.

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