Éditorial
Post hoc ergo propter hoc
- Mis en ligne le
- 01 sept. 1998
- Auteur
La détection des tumeurs de l’angle est une arme à
double tranchant : d’un côté, l’excès d’examens
expose à des sanctions ; de l’autre, un défaut de prescription
d’examens peut exposer à une plainte.
Le cas suivant peut illustrer ce propos : un patient affligé d’une
surdité brusque n’effectue pas les examens prescrits à la
recherche d’une tumeur, s’en tient à l’hypothèse circulatoire,
et décède quelques années plus tard lors de l’ablation du neurinome.
Or, la prescription n’ayant été qu’orale, l’ORL ne peut
en apporter la preuve et partagerait, selon l’expertise, une part
de la responsabilité du décès.
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