L’optimisation de séquences FLAIR retardées a ouvert de nouvelles perspectives dans l’étude du labyrinthe membraneux et de la barrière hématolabyrinthique. Dorénavant, sous réserve d’une optimisation de ces séquences retardées par le radiologue, il sera possible de détecter l’hydrops endolymphatique primaire dans le cadre de la maladie de Ménière, mais également l’hydrops secondaire (inflammatoire, traumatique, 3e fenêtre, etc.). Certains processus pathologiques peuvent également altérer la perméabilité de la barrière hématolabyrinthique se manifestant par un passage important du gadolinium à travers cette barrière, visible uniquement sur les séquences retardées.
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M. Eliezer déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.
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