Les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont issues de cellules dérivées du système endocrinien diffus. Les plus communes sont les tumeurs carcinoïdes ayant pour origine les poumons, l'intestin grêle, l'appendice, le rectum ou le thymus, ainsi que les tumeurs endocrines pancréatiques. Elles comprennent aussi les TNE des parathyroïdes, de l'hypophyse, les carcinomes médullaires de la thyroïde, les phéochromocytomes et les paragangliomes. Elles peuvent être fonctionnelles avec des symptômes consécutifs à des sécrétions hormonales ou non fonctionnelles. Elles sont le plus souvent sporadiques mais peuvent aussi s'intégrer dans des syndromes héréditaires (néoplasies endocriniennes multiples 1 et 2, etc.).
L'incidence des TNE digestives est d'environ 5/100 000, mais leur prévalence en France est d'environ 20 cas pour 100 000 habitants, ce qui s'explique par une durée de vie longue dans les cas de TNE bien différenciées.
Les tumeurs neuroendocrines (TNE) sont issues de cellules dérivées du système endocrinien diffus. Les plus communes sont les tumeurs carcinoïdes ayant pour origine les poumons, l'intestin grêle, l'appendice, le rectum ou le thymus, ainsi que les tumeurs endocrines pancréatiques. Elles comprennent aussi les TNE des parathyroïdes, de l'hypophyse, les carcinomes médullaires de la thyroïde, les phéochromocytomes et les paragangliomes. Elles peuvent être fonctionnelles avec des symptômes consécutifs à des sécrétions hormonales ou non fonctionnelles. Elles sont le plus souvent sporadiques mais peuvent aussi s'intégrer dans des syndromes héréditaires (néoplasies endocriniennes multiples 1 et 2, etc.).
L'incidence des TNE digestives est d'environ 5/100 000, mais leur prévalence en France est d'environ 20 cas pour 100 000 habitants, ce qui s'explique par une durée de vie longue dans les cas de TNE bien différenciées.
Liens d'intérêt
L’auteur déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec cet article.