Près de 14 ans après le premier cas de TAVI chez l'homme, les résultats présentés cette année au congrès de l'American College of Cardiology (ACC) à Chicago vont bien au-delà de l'objectif initial d'Alain Cribier, qui avait développé ce traitement alternatif pour les seuls patients porteurs d'un rétrécissement aortique (RA) symptomatique, laissés pour compte car considérés comme inopérables.