La Lettre du Gynécologue / N° 435 - décembre 2021

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) touche 1 femme en âge de procréer sur 10. Il a fait l'objet de nombreuses publications : ouvrages et articles scientifiques (quelque 19 000 références sur PubMed), recommandations nationales et internationales ...

Le SOPK est l'endocrinopathie la plus fréquente chez les femmes en âge de procréer. Il a pour caractéristiques une production excessive d'androgènes, une dysovulation responsable d'infertilité et des ovaires d'aspect polykystique. Par ailleurs, des altérations métaboliques telles qu'un ...

Le SOPK est une pathologie fréquente, pouvant être rencontrée à tous les âges de la vie reproductive. Les critères diagnostiques ont été précisément décrits lors d'une conférence de consensus de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie (ESHRE) datant de 2018. ...

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l'endocrinopathie la plus fréquente de la femme jeune en âge de procréer et constitue la principale cause d'anovulation et d'infertilité. C'est une pathologie complexe dont la prise en charge est mal codifiée. L'objectif de cet article est de ...

Le SOPK est une pathologie fréquente et invalidante qui engendre une dégradation de la qualité de vie. Il entraîne des conséquences sur le plan psychique et peut se compliquer de troubles psychiatriques. Le risque de présenter des troubles psychiatriques, tous types confondus, est ...

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est fréquent et se manifeste par des symptômes variés conduisant à un diagnostic souvent erroné en soins de premier recours. Les enjeux sont d'organiser une prise en charge globale pour prévenir les complications à court et à long terme, ...

La prise en charge du syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est multidisciplinaire. Elle repose sur la modification du mode de vie, la prise de traitements pour corriger un éventuel syndrome métabolique, les troubles du cycle et l'hyperandrogénie, ainsi que sur le dépistage et la ...

Le vaccin contre les papillomavirus humains (HPV) est pris en charge par l'Assurance maladie pour les garçons de 11 à 14 ans depuis le 1er janvier 2021.Le vaccin contre les HPV réduit de près de 90 % le risque d'un cancer du col de l'utérus lorsqu'il est administré chez les jeunes femmes ...

Depuis la publication au cours de l'été2002de l'étude WHI[1] et surtout de la seule médiatisation, parfois outrancière, des risques du traitement hormonal de la ménopause(THM), rarement mis en balance avec ses bénéfices, le nombre de femmes traitées n'a cessé de décroître dans tous ...

L'ostéoporose de la grossesse et de l'allaitement (OGA) est une pathologie classique, mais rare (4 à 8 par million de grossesses), dont la prise en charge clinique est souvent problématique. En effet, elle survient par définition chez des femmes jeunes non ménopausées, essentiellement ...

Une patiente de 72 ans est adressée pour des lésions vulvaires évoluant depuis 5 ans et résistant aux traitements locaux. Ces lésions sont douloureuses, prurigineuses et altèrent sévèrement sa qualité de vie. Elle a pour antécédent un carcinome du rectum traité en 2006 par ...

L'épidémie de bronchiolite touche chaque année environ 30 % des nourrissons d'une classe d'âge [1]. Comme la France compte environ 750 000 naissances annuelles, le nombre d'enfants affectés sur une période relativement courte est considérable. L'épidémie entraîne un surcroît de ...