La Lettre du Neurologue / N° 1-2 - février 2022

Voici un nouveau numéro conjoint et pluridisciplinaire de La Lettre, fruit d'une collaboration des plus efficaces entre La Lettre du Neurologue et La Lettre du Rhumatologue, pilotée par le Pr Sophie Dupont et moi-même.Ce projet de numéro est né des multiples ...

Cette étude est un essai multicentrique contrôlé, randomisé, en double aveugle, évaluant l'effet de la mirtazapine sur l'agitation dans la maladie d'Alzheimer (MA). 204 patients ayant une MA possible ou probable (non étayée par des biomarqueurs physiopathologiques) et présentant ...

Dans cette étude rétrospective, les cas de 563 patients souffrant d'une dégénérescence frontotemporale (DFT) diagnostiquée sur des critères cliniques et d'imagerie cérébrale, avec des biomarqueurs protéiques du liquide cérébrospinal (LCS) éliminant une MA chez 223 ...

L'épilepsie myoclonique juvénile (EMJ) est un syndrome épileptique fréquent, représentant environ 30 % des épilepsies généralisées idiopathiques. Cependant, la prise en charge de ces patients peut être complexe, avec un pourcentage de patients pharmacorésistants qui peut aller ...

Le diagnostic différentiel entre les crises non épileptiques psychogènes (CNEP) et les crises d'épilepsie est un dilemme fréquent, d'autant plus lorsque les 2 pathologies coexistent. L'examen qui permet de confirmer définitivement le diagnostic est l'enregistrement d'événements cliniques ...

L'équipe du centre de ressources et de compétences de Marseille a publié les données de sa cohorte de patients atteints de SEP (récurrente-rémittente (RR), secondairement progressive (SP) ou primaire progressive (PP)) et traités par rituximab (hors AMM). Les auteurs se sont intéressés ...

Si la cladribine présente un mode d'action original, le fait qu'il s'agisse d'un traitement immunosuppresseur pose la question du risque infectieux. En cette période de pandémie, la question de la persistance de l'immunité vaccinale sous ce type de traitement revêt un intérêt particulier. ...

La douleur est présente chez plus de deux tiers des patients parkinsoniens. Un patient parkinsonien peut présenter plusieurs types de douleurs concomitantes. Les dystonies et la douleur centrale sont spécifiques, alors que les douleurs musculosqueletiques, les douleurs radiculaires et le ...

La maladie de Parkinson est essentiellement connue pour les troubles moteurs qu'elle engendre. La ­prévalence de la lombalgie chez les patients ayant une maladie de Parkinson varie de 60 à 75 %. Elle est 2 fois plus élevée que dans la population générale et peut être révélatrice de ...

Les comorbidités rhumatologiques sont fréquentes chez les patients atteints de la maladie de Parkinson. La pathologie rachidienne dégénérative et la capsulite rétractile de l'épaule sont les comorbidités les plus fréquentes. Sources de confusion, elles peuvent s'associer à la maladie de ...

Dans la polyarthrite rhumatoïde (PR) et dans la sclérose en plaques (SEP), il existe une fenêtre ­d'opportunité thérapeutique. Dans la PR, le diagnostic précoce et l'instauration rapide d'un 1er traitement de fond csDMARD (méthotrexate (MTX)) conditionnent l'obtention plus fréquente ...

Les anti-TNF sont délétères chez les sujets atteints d'une pathologie démyélinisante préexistante et sont contre-indiqués chez les patients ayant des antécédents de maladie démyélinisante.La fréquence des événements démyélinisants “de novo” ne semble pas significativement ...

Le risque d'ostéoporose avec une diminution de la densité minérale osseuse ou la survenue de fractures de fragilité vertébrales et de hanche est plus élevé dans la maladie de Parkinson. Le risque de chute est également plus élevé dans la maladie de Parkinson.Une stratégie appropriée ...

Depuis quelques années, des autoanticorps spécifiques des PIDC sont enfin identifiés et ils ont un rôle pathogène démontré. Ils sont presque toujours de type IgG4, n'activant pas le complément. Ces formes ont des particularités cliniques communes et des différences selon le type ...

La douleur des neuropathies des petites fibres (NPF) est en général distale, en chaussettes et en gants.Le traitement des NPF doit si possible intégrer le traitement de la maladie causale si elle est connue.La prise en charge de la maladie causale ne permet pas forcément la réduction des ...

La fibromyalgie (FM) est fréquente (1,6 % de la population) et toucherait au moins 2 fois plus les femmes que les hommes. Il s'agit de la pathologie douloureuse chronique diffuse la plus fréquente. Il existe des outils pratiques de dépistage et de diagnostic, actualisés en 2016. Les ...

Le trouble à symptomatologie somatique ainsi que le trouble factice sont 2 entités très peu connues, et donc mal diagnostiquées par les cliniciens. À la frontière de la rhumatologie, de la neurologie ainsi que de la psychiatrie, les patients aux plaintes multiples et aux symptômes peu ...

Une signature neuronale de la douleur peut être identifiée en IRM fonctionnelle.Cette signature neuronale est significativement modifiée en présence de douleurs chroniques.Une réorganisation neuronale (phénomène de plasticité neuronale), un des mécanismes des douleurs chroniques, peut ...

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