Éditorial

Transplantation pulmonaire au XXIe siècle : un besoin impératif de nouveaux donneurs

La greffe d’organes est aujourd’hui le traitement ultime pour prolonger la vie ou la rendre possible et autonome. Cette thérapeutique a fait apparaître une notion ancestrale, “la mort de l’autre”, sous une forme différente. En effet, la greffe implique la disponibilité d’organes. Ces derniers doivent provenir d’un autre être humain qui n’en a plus besoin, c’est-à-dire qui est décédé ou qui est sur le point de mourir. Néanmoins, ces(ses) organes doivent rester vivants afi n qu’ils puissent “servir” à l’autre personne pour qui, sans eux, la mort risque d’être imminente.

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