Droit médical

Le pretium doloris

Longtemps le Conseil d’État n’a pas voulu réparer directement la douleur morale, considérant qu’elle « n’a pas de prix », bien qu’il ait eu recours parfois à des voies détournées pour assurer une réparation indirecte, notamment au titre des troubles dans les conditions d’existence. Il a progressivement modifié cette jurisprudence assez peu cohérente, en indemnisant d’abord la souffrance physique, précisément le pretium doloris, puis la douleur morale liée à la mort d’un proche, constitutive du pretium affectionis.

L’accès à la totalité de l’article est protégé



Connectez-vous à votre compte
Inscrivez-vous gratuitement

Identifiant / Mot de passe oublié


Vous avez oublié votre mot de passe ?


Vous avez oublié votre identifiant ?

Consultez notre FAQ sur les problèmes de connexion ou contactez-nous.

Vous ne possédez pas de compte Edimark ?

Inscrivez-vous gratuitement

Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d’un email et d’un mot de passe. L’email est celui que vous avez renseigné lors de votre inscription ou de votre abonnement à l’une de nos publications. Si toutefois vous ne vous souvenez plus de vos identifiants, veuillez nous contacter en cliquant ici.