La Lettre du Pneumologue / N° 6 - novembre 2024

Au cours de la dernière décennie, l’exploitation du système immunitaire à l’encontre des cellules cancéreuses s’est avérée une stratégie thérapeutique pertinente dans plusieurs pathologies néoplasiques, ...

Le terme d’oligométastases a été introduit dans la littérature médicale en 1995 pour décrire et expliquer une situation clinique rare où le nombre des métastases était limité, et, sous réserve d’un ...

Lors de la consultation initiale d’annonce du plan thérapeutique, l’information donnée au patient met en exergue les aspects pratiques du traitement, l’espoir de l’efficacité thérapeutique sans omettre la possibilité d’effets indésirables qui sont souvent bien détaillés ; ...

Les nouvelles thérapeutiques du cancer du poumon peuvent être responsables de réactions liées à la perfusion. Le diagnostic, le traitement de la réaction dans l’urgence et la prophylaxie doivent faire partie des compétences de l’oncologue thoracique. La fréquence de survenue de ces ...

Toute pneumopathie d’évolution traînante chez un patient tabagique doit faire rechercher un cancer du poumon. La vaccination est fortement recommandée dès le diagnostic du cancer. La nature immunosuppressive du traitement anticancéreux et la prophylaxie anti-infectieuse conditionnent le ...

La radiothérapie joue un rôle important dans la prise en charge des cancers au niveau thoracique. Cependant, certaines complications pulmonaires comme la pneumopathie radique restent des toxicités limitantes de ce type d’irradiations. La connaissance des complications pulmonaires de la ...

La toxicité pulmonaire à l’immunothérapie a une incidence de 3 % dans les études à 19 % en vie réelle, phénomène qui nécessite l’apprentissage de sa détection et de sa gestion. Cette toxicité est plus fréquente sous anti-PD-1 que sous anti-PD-L1 ou anti-CTLA-4. Le risque est ...

La recherche des drivers oncogéniques ne doit pas être limitée au simple fait de l’âge. En cas d’expression de PD-L1 ≥ 50 % et si PS 0-1, le pembrolizumab, le cémiplimab ou l’atézolizumab peuvent être utilisés en monothérapie en 1re ligne. En cas d’expression de PD-L1 ...

Benjamin Besse est professeur d’oncologie médicale à l’université Paris-Saclay et directeur de la recherche clinique de l’institut Gustave-Roussy. Spécialiste de la prise en charge des cancers thoraciques, il a accepté de répondre ...