Dossier

Atrophie et dégénérescence musculaires : mécanismes physiopathologiques

» La prévalence des lésions de la coiffe des rotateurs est estimée à 30 % dans la population générale, avec 20 % de ruptures chez des sujets asymptomatiques entre 60 et 70 ans. » Outre la taille et la nature de la lésion, l’âge, l’atrophie et l’involution graisseuse musculaires conditionnent les possibilités de guérison. » La prise en compte de l’état musculaire sous-jacent occupe une place croissante dans l’indication et la stratégie thérapeutique, en particulier lorsqu’elle est chirurgicale.

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