Loin d'être au premier plan, la toxicité rhumatologique des immunothérapies concerne pourtant entre 5 et 10 % des patients. La physiopathologie de ces rhumatismes induits est incertaine, et diffère probablement de nos rhumatismes inflammatoires ou maladies auto-immunes classiques par leur évolution, la prédominance masculine et l'absence fréquente d'autoanticorps. Leur prise en charge nécessite une collaboration étroite entre l'oncologue, le rhumatologue et le patient, afin de soulager rapidement le patient, de préserver sa qualité de vie et de maintenir l'efficacité antitumorale. Pour cela, la corticothérapie et, si besoin, d'autres traitements immunosuppresseurs ou immunomodulateurs seront utilisés.
Vous possédez déjà un compte Edimark ?
Merci de saisir votre e-mail et votre mot de passe.
Identifiant ou mot de passe oublié
Besoin d'aide ?
Créer un compte
M. Kostine déclare ne pas avoir de liens d’intérêts en relation avec l’article.
Pour accéder aux contenus publiés sur Edimark.fr vous devez posséder un compte et vous identifier au moyen d’un email et d’un mot de passe. L’email est celui que vous avez renseigné lors de votre inscription ou de votre abonnement à l’une de nos publications. Si toutefois vous ne vous souvenez plus de vos identifiants, veuillez nous contacter en cliquant ici.