Dossier
Infiltrations dans et autour de l’épaule : littérature, peurs et croyances
- Mis en ligne le
- 29 nov. 2024
- Auteur
- Les données de la littérature concernant le risque associé aux injections sous-acromiales répétées sont pauvres.
- À 1 an d’une infiltration acromioclaviculaire de corticoïdes, environ la moitié des patients sont encore soulagés.
- Dans l’arthrose glénohumérale, une méta-analyse rapporte une supériorité de l’acide hyaluronique associé à la kinésithérapie par rapport à la kinésithérapie seule, mais pas d’effet supérieur contre la douleur comparativement à une injection de sérum physiologique.
- Dans les tendinopathies de la coiffe, il n’y a pas d’élément échographique ou radiographique associé à la bonne réponse à l’infiltration sous-acromiale et la réponse clinique n’est pas meilleure en présence d’une bursite sous-acromio-deltoïdienne.
Les infiltrations de corticoïdes sont très fréquemment pratiquées pour la gestion de la douleur dans les pathologies de l’épaule, notamment dans la tendinopathie de la coiffe, la capsulite rétractile ou encore l’omarthrose. Elles font partie intégrante du traitement conservateur. Pourtant, les pratiques (voie d’abord, type d’infiltration, technique de guidage, etc.) et les indications peuvent varier selon les habitudes des praticiens et elles peuvent également être remises en question en raison de leur effet…
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