Les nouveaux protocoles de chimio-immunothérapie et d’anticorps drogue-conjugués donnent lieu à de nouvelles toxicités : immunomédiées, d’une part, avec l’importance du suivi en néoadjuvant et adjuvant des patientes jeunes et fumeuses ainsi que la bonne formation des infirmiers en pratique avancée , d’autre part, le risque non négligeable de pneumopathie interstitielle sous trastuzumab déruxtécan qui n’empêche pas de réintroduire la molécule lorsque cela est nécessaire. On retient également les données rassurantes de l’étude BRCA BCY pour autoriser les patientes mutées BRCA1/2 à allaiter après un cancer du sein localisé. Enfin, l’activité physique adaptée ainsi que la méditation sont des approches à encourager dans le parcours patient, mais qui nécessitent un bon encadrement pour être pleinement efficaces.
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