– Les enfants peuvent tout comprendre, tout faire
comprendre, à condition de leur parler simplement, selon
leur âge.
– Un enfant qui pose des questions sur la mort n’est pas
forcément dépressif (sauf si c’est excessif).
– Le questionnement sur la mort fait partie de son
développement normal. Il évolue avec le temps.
– Ses véritables questions se découvrent progressivement :
il ne faut pas répondre trop vite, une question peut en
cacher plus d’une.