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Après avoir relaté le cas clinique
complexe qui suit, Michel
Boublil demande un avis pédiatrique.
Il s’agit d’une fillette de
neuf ans, schizophrène (hallucinations,
dissociation, dépersonnalisation,
colères violentes,
agressivité familiale incontrôlée…)
mais intelligente et scolarisée
en classe normale avec
quelques aménagements. La famille,
composée de quatre personnes
(mère, grand-père maternel,
oncle, cousine), est complexe.
Chacune fait état du déclenchement
de «maladies »
après une vaccination : la mère
d’une sclérose en plaques après
vaccination contre l’hépatite, le
grand-père d’une maladie
d’Alzheimer après vaccination
grippale, la cousine d’un autisme
après vaccination contre la
rougeole, l’oncle d’une polynévrite
après la prise d’un vaccin
antipoliomyélitique buccal…
Cette enfant se trouve dans un
grand isolement social alors
que s’annonce un départ possible
en classe verte. Les parents
ne veulent qu’un vaccin
sans adjuvant, sans alumine, ce
qui est une mission impossible
pour les collègues pédiatres de
M. Boublil. Comment faire pour
éviter une sur-stigmatisation de
cette enfant, d’autant plus
qu’un traitement (largement
hors AMM) a bien calmé ses
voix et ses crises ?
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