Une petite fille de sept ans, patiente
de G. Hobeika, s’est vu
refuser l’accès au bassin de la
piscine par le maître nageur au
prétexte qu’elle présentait 15 à
20 éléments de molluscum
contagiosum sur le tronc.
Qu’en pensez-vous ? demande
notre confrère.
C. Copin assimile cette attitude
à de la discrimination et rappelle
que le « guide des
conduites à tenir en cas de maladie
transmissible dans une
collectivité d’enfants »(www.sante.gouv.fr) ne recommande
aucune éviction, pas
plus pour les molluscums que
pour les verrues vulgaires, précisant
: « piscines et sports
pieds nus autorisés aux enfants
infectés ».