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En l’absence d’un médecin de
PMI de son secteur, E. Pino est
saisie d’une demande de PAI
(projet d’accueil individualisé)
pour une allergie aux piqûres
de moustique chez une enfant
de trois ans. Selon les parents,
le médecin traitant aurait évoqué
« un risque accru d’allergie
aux hyménoptères ». Notre
consoeur précise que, indépendamment
de la question du PAI
(qu’elle ne fera probablement
pas car l’allergie lui semble peu
étayée et que les moustiques
locaux piquent essentiellement
la nuit), elle s’interroge sur la
réalité clinique de cette « allergie
» et de l’importance des
réactions croisées évoquées par
le médecin. Les questions posées
sont donc au nombre de
trois : est-ce que l’allergie aux
moustiques existe réellement ; si oui, peut-elle justifier un PAI
au motif qu’elle risque de favoriser
la survenue une allergie
aux venins d’hyménoptères
(abeilles, guêpes, bourdons),
dont l’enfant est actuellement
exempte ; existe-t-il des réactions
croisées réciproques entre
les moustiques (culicidés de
l’ordre des diptères) et les hyménoptères
?
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