Un échappement peut en cacher un autre …
Monsieur G., 51 ans, VIH + depuis 1992
- Haut poste dans l’industrie de la mode, vit entre l’Oise (en pleine campagne), Paris et Los Angeles
- Marié, un enfant de 20 ans ; bisexuel assumé
- A toujours eu une consommation de drogue "récréative" dans le cadre de son travail et des soirées de la mode : essentiellement cocaïne, MDMA, jamais d’injection ("déteste les piqûres"), peu de Chemsex. Alcool < 30 gr/jour. Tabac arrêté depuis 10 ans. Depuis quelques mois, un peu de 3 MMC (via Internet) et cocaïne (via son portable). Il lui arrive de passer 2 nuits blanches et de travailler entre les 2. Prend de la MDMA ponctuellement dans ses gouttes nasales "idéal contre son tract en public". Aucune demande particulière, si ce n’est qu'il a des difficultés à se souvenir des produits consommés
- Observant au DTG + ABC/3TC 1cp/jour
- CD4 > 600/mm
3 - CV contrôlée depuis 1999, date de début des ARV
- Pas de co-infection VHB, VHC ni d’IST